Un petit coup de R.P. de fait jamais de mal alors allons y joyeusement
"c'est ici chez nous mes amis!"
l'explorateur Kilvan arréta la caravane sur les terres asséchées et dépourvues de bois qu'ils devaient maintenant civiliser... Le texas, région des combats rangés par excellence s'il en fut : les deux routes commerciales ouvertes quelques années plus tot par la world trade company avait divisé la carte en deux zones pouvant être retranchées à l'extrème....
Le traité passé avec les russes quelques années plus tot ne lui disait rien qui vaille... et tandis que la colonie s'installait, il envoya des éclaireurs cartographier la zone et repérer d'éventuelle menace puis se retourna vers ses hommes : "mes amis, je suis fier de vous avoir avec moi pour cette grande expédition au plus profond du Nouveau Monde! Mais le danger rode et je vous demanderai..."
le grand homme s'interrompit en voyant la délégation de diplomate russe qui arrivait vers le village... en armes. " les traités sont fait pour êre brisés" pensa-t-il, déçu par la bétise de son nouvel adversaire.
"Au dirigeant de ce camp, clama le nouvel arrivant dans un français impeccable, nous donnons l'avertissement suivant : ces terres ne sont pas comprises dans le traité de nos deux empires et, seront de ce fait adjugées à celui qui saura s'en emparer! En vertus des accords passés, nous vous accordons un an pour vous installer... et puis ce sera la guerre! Que le meilleur gagne!"
Kilvan regarda l'émissaire repartir une fois son message livré, puis se tourna une nouvelle fois vers les colons..." Mes amis, que la partie commence..."
---quelques années plus tard---
"Et un mur réparé, un!", cela faisait un an que les gardes avaient vu pour la première fois les opritchniks dévaler la colline et se heurter aux murs et aux puissant cuirrasiers français... Depuis, les maçons ne manquaient plus de travail et la guerre d'usure s'éternisait... "comment 5 hommes peuvent ils dresser de pareilles forterresses aussi vite?" le maçon reposa ses outils, découragés : il avait vu les forts russes sortir du sol et libérer leur flots de soldats assoifés de sang sur leurs murs... mais les français tenaient, vagues après vagues, ils repoussaient les hallebardiers et détruisaient les forts... et c'était ensuite aux maçons de jouer, de reconstruire les dizaines de casernes et écuries cernants les murs de la colonie...avec une seules hantise, entendre ce cri funèbre :"les revoila!"
les maçons ne pouvaient être protégés... mais Pierre et lui étaient les meilleurs : ils avaient réussi à prendre petit à petit de la place sur la carte malgrès les assauts russes et étaient finalement parvenu à passer leurs ligne... mais avec les espions infiltrés, passer les lignes ennemies voulait seulement dire qu'on était plus loin de l'aide...
Mais aujourd'hui, les adversaires étaient épuisés... des années de luttes avaient endurci les français et épuisé les russes : les assaults se faisaient plus espacés... et le temps de la contre-attaque était venu...
Mortit s'assit et regarda la vague de cuirrassier charger le flanc de la colonie adverse : les murs (de la belle maçonnerie) tombaient malgrès les charges d'hallebardiers qui tentaient de freiner l'avancée imptoyable des cuirrassiers... Pierre et lui avaient fait du bon travail, la base avancée française était suffisamment proche des russes pour leur faire payer 2 années de terreurs et de carnages. Les cuirrassiers s'en donnaient à coeur joie quand soudain, un appel retentit : "Nous, Nous rendons!" Morti se rappellait de l'émissaire qui était passé au camp il y a 3 ans de ça : boitant, il agitait un drapeau blanc et s'avançait seul vers le seigneur Kilvan... La fin de journée s'annonçait agréable...
un grand merci à Morti et Pierre qui ont construit une trentaine de section de murs, 24 casernes et 18 écuries ainsi qu'une jolie fonderie d'artillerie^^
à ceux qui ont lu tout mon R.P. : BRAVO
un 2nd lieut à mon tableau de chasse, et 0.4 points de grade pour 2h30 de jeu... mais c'était quand même fun lool